Vous avez pris la décision de vous lancer à votre compte dans l’industrie de la traduction, mais vous ne savez pas par où commencer ?
Vous avez fait des études de langues et envisagez le métier de traducteur, mais vous n’avez aucune idée de la marche à suivre ?
Quelle chance vous avez !
J’ai rédigé pour vous un article qui tombe à pic, puisqu’il vous indique les étapes à franchir pour démarrer sereinement votre activité de traducteur ou de traductrice.
Vous avez fait des études de langues et envisagez le métier de traducteur, mais vous n’avez aucune idée de la marche à suivre ?
Quelle chance vous avez !
J’ai rédigé pour vous un article qui tombe à pic, puisqu’il vous indique les étapes à franchir pour démarrer sereinement votre activité de traducteur ou de traductrice.
1. Première étape : déterminer vos langues de travail
La première chose que vous devez faire si vous avez l’intention de vous lancer à votre compte en tant que traductrice ou traducteur, c’est de déterminer vos langues de travail.
Il faut savoir qu’un traducteur professionnel traduit toujours vers sa langue maternelle. Certes, aucune règlementation officielle ne vous y oblige et il n’est pas rare de voir des traducteurs traduire vers une autre langue que leur langue maternelle.
Mais pour rendre une bonne traduction, il faut maîtriser la langue cible à la perfection, savoir jouer avec cette langue et en maîtriser toutes les subtilités, toutes les nuances ; or, ce niveau de maîtrise ne peut être atteint que dans sa langue maternelle, la langue dans laquelle vous avez grandi. Notons, par ailleurs, que la plupart des agences de traduction exigent de « leurs » traducteurs qu’ils soient « natifs », donc qu’ils traduisent vers leur langue maternelle. La Société française des traducteurs (SFT) inclut même ce principe dans ses bonnes pratiques.
Mais pour rendre une bonne traduction, il faut maîtriser la langue cible à la perfection, savoir jouer avec cette langue et en maîtriser toutes les subtilités, toutes les nuances ; or, ce niveau de maîtrise ne peut être atteint que dans sa langue maternelle, la langue dans laquelle vous avez grandi. Notons, par ailleurs, que la plupart des agences de traduction exigent de « leurs » traducteurs qu’ils soient « natifs », donc qu’ils traduisent vers leur langue maternelle. La Société française des traducteurs (SFT) inclut même ce principe dans ses bonnes pratiques.
Déterminer votre langue cible est donc chose aisée. Mais qu’en est-il de vos langues sources ? Il s’agit donc des langues depuis lesquelles vous allez traduire. Ces langues, vous devez les comprendre, mais pas forcément les maîtriser, puisque vous n’aurez pas à produire quoi que ce soit dans ces langues. Vous pouvez donc tout à fait comprendre cette langue, mais ne pas être capable de l’utiliser à l’oral.
Mais il faut bien savoir que le niveau de maîtrise de votre langue source et de la culture associée est directement corrélé à votre productivité depuis cette langue source et à l’étendue des domaines que vous pourrez couvrir, et des services que vous pourrez proposer.
Concrètement, si vous avez fait des études d’espagnol et que vous avez vécu plusieurs années en Espagne, vous pourrez à priori traduire, transcréer et post-éditer depuis cette langue, avec un nombre de mots traités par heure élevé. En revanche, si vous avez étudié, disons, l’allemand à l’université, et que vous avez seulement appris l’espagnol au lycée, et que vous n’avez jamais mis les pieds en Espagne, vous pourrez déchiffrer du contenu commercial, par exemple, mais vous aurez sans doute plus de difficulté à traduire du contenu littéraire ou audiovisuel, qui nécessite une connaissance plus subtile de la langue source et de la culture associée.
Mais il faut bien savoir que le niveau de maîtrise de votre langue source et de la culture associée est directement corrélé à votre productivité depuis cette langue source et à l’étendue des domaines que vous pourrez couvrir, et des services que vous pourrez proposer.
Concrètement, si vous avez fait des études d’espagnol et que vous avez vécu plusieurs années en Espagne, vous pourrez à priori traduire, transcréer et post-éditer depuis cette langue, avec un nombre de mots traités par heure élevé. En revanche, si vous avez étudié, disons, l’allemand à l’université, et que vous avez seulement appris l’espagnol au lycée, et que vous n’avez jamais mis les pieds en Espagne, vous pourrez déchiffrer du contenu commercial, par exemple, mais vous aurez sans doute plus de difficulté à traduire du contenu littéraire ou audiovisuel, qui nécessite une connaissance plus subtile de la langue source et de la culture associée.

2. Deuxième étape : déterminer vos services
Une fois que vous avez déterminé vos langues de travail, vous allez devoir réfléchir aux services que vous allez proposer.
Comme nous l’avons vu plus haut : ces services dépendent notamment de votre niveau de maîtrise de votre langue source. Pour reprendre l’exemple de l’espagnol : si vous vous remettez à l’espagnol après avoir passé quelques années sans contact avec cette langue, peut-être n’allez-vous commencer par ne proposer que de la post-édition de traduction automatique. Une fois que vous aurez repris l’habitude de travailler avec cette langue et que vous aurez moins besoin d’aide pour la comprendre, vous pourrez étendre vos services à la traduction, la transcréation, la révision, etc.
Comme nous l’avons vu plus haut : ces services dépendent notamment de votre niveau de maîtrise de votre langue source. Pour reprendre l’exemple de l’espagnol : si vous vous remettez à l’espagnol après avoir passé quelques années sans contact avec cette langue, peut-être n’allez-vous commencer par ne proposer que de la post-édition de traduction automatique. Une fois que vous aurez repris l’habitude de travailler avec cette langue et que vous aurez moins besoin d’aide pour la comprendre, vous pourrez étendre vos services à la traduction, la transcréation, la révision, etc.
En parlant de post-édition de traduction automatique, que l’on appelle également « MTPE » dans le métier, pour Machine Translation Post-Editing, vous allez devoir vous poser la question du recours ou non à l’intelligence artificielle dans votre travail. En effet, certains traducteurs s’y opposent farouchement, comme le collectif IA-lerte général, qui appelle même au sabotage de cette pratique. D’autres, au contraire, en ont fait leur spécialité. A vous de trancher !
Vous devrez également vous poser la question de la spécialisation : souhaitez-vous vous spécialiser dans un domaine particulier, comme la traduction audiovisuelle ou juridique ? Ou plutôt jouer la carte de l’ouverture et être le plus généraliste possible ?
Enfin, en fonction de vos appétences et de vos compétences, vous devrez décider de proposer ou non des services de relecture, de transcréation, de rédaction web, de traduction SEO, de recherche de mots-clés, de copywriting, de publication assistée par ordinateur, ou encore, de sous-titrage, entre autres services possibles.

3. Troisième étape : fixer vos prix
Pour chaque service que vous proposez, vous allez devoir déterminer un tarif.
Si vous proposez plusieurs combinaisons de langues, vous pouvez soit proposer un tarif unique, soit différencier en fonction de la combinaison.
Par exemple, si vous traduisez de l’anglais et du néerlandais vers le français, vous pourrez demander plus depuis le néerlandais que depuis l’anglais, la première langue source étant plus rare. Mais vous pouvez aussi décider d’uniformiser vos tarifs pour des questions commerciales.
Si vous proposez plusieurs combinaisons de langues, vous pouvez soit proposer un tarif unique, soit différencier en fonction de la combinaison.
Par exemple, si vous traduisez de l’anglais et du néerlandais vers le français, vous pourrez demander plus depuis le néerlandais que depuis l’anglais, la première langue source étant plus rare. Mais vous pouvez aussi décider d’uniformiser vos tarifs pour des questions commerciales.
Vous allez, par ailleurs, devoir vous renseigner sur les tarifs qui se pratiquent. L’idée étant de facturer suffisamment haut pour pouvoir vivre décemment de la traduction, mais pas trop haut non plus pour pouvoir décrocher des missions, et pas trop bas pour ne pas casser les prix ni vous retrouver à travailler pour des clopinettes.
Quant à la base de facturation, à vous de voir si vous suivez le courant principal en facturant au mot source ou si vous préférez une autre base de facturation.
4. Quatrième étape : choisir vos outils
Il est temps de constituer votre boîte à outils.
Le traducteur, ou traductaire pour un langage plus inclusif, travaille au quotidien avec un certain nombre d’outils, parmi lesquels :
Liste non exhaustive ! A vous de faire vos choix en fonction de vos préférences, des services que vous proposez… et de votre budget.
Le traducteur, ou traductaire pour un langage plus inclusif, travaille au quotidien avec un certain nombre d’outils, parmi lesquels :
- Une chaise ergonomique
- Une souris ergonomique
- Deux ou trois écrans
- Un ordinateur portable
- Un agenda papier (pour ceux qui, comme moi, aiment l’idée de pouvoir tenir son agenda dans les mains)
- Un logiciel de TAO (Traduction Assistée par Ordinateur)
- Un logiciel de facturation (adapté à notre activité)
- Un correcteur orthographique et grammatical
- Des dictionnaires en ligne
- Un fournisseur de traductions automatiques (sauf pour celles et ceux qui y sont allergiques)
- Un logiciel de sous-titrage (si vous proposez ce service)
Liste non exhaustive ! A vous de faire vos choix en fonction de vos préférences, des services que vous proposez… et de votre budget.
Notez que vous pouvez tout à fait vous outiller progressivement, au gré des commandes que vous recevez, en particulier en ce qui concerne le logiciel de TAO que vous allez choisir.
De plus en plus d’agences mettant à la disposition de leurs traducteurs des licences gratuites pour utiliser leur propre outil, en particulier memoQ et XTM, vous pouvez même décider de n’investir dans aucun outil de TAO.
De plus en plus d’agences mettant à la disposition de leurs traducteurs des licences gratuites pour utiliser leur propre outil, en particulier memoQ et XTM, vous pouvez même décider de n’investir dans aucun outil de TAO.

5. Cinquième étape : créer votre CV
En tant que traductrice ou traducteur indépendant(e), votre CV est sans doute le document que vous allez envoyer le plus souvent, et qu’il vous faut donc soigner. Je parle ici au singulier, mais je devrais plutôt employer le pluriel, puisque vous aurez sans doute plusieurs CV, chacun étant adapté à la mission qui vous intéresse et au destinataire. Chaque expérience, chaque formation que vous y indiquerez devra être un argument de vente.
Ne négligez pas la section « Hobbies », « Loisirs », « Et en dehors de la traduction ? » ou peu importe le titre que vous lui donnerez : cette section peut vous servir à justifier de l’un ou l’autre domaine de spécialisation. Par exemple, si vous pratiquez un sport depuis des années et que vous postulez à une offre de projet de traduction d’un site Internet dédié à ce sport, vous aurez tout intérêt à mettre en avant ce hobby.
Si vous avez des compétences en réalisation et en montage, vous pouvez bien évidemment opter pour un CV vidéo comme on en voit de plus en plus souvent. Mais gardez à l’esprit qu’en tant que traductaire, c’est avant tout vos compétences écrites qui sont recherchées. Vous n’auriez donc pas intérêt à ne miser que sur un CV vidéo. Mais vous pouvez tout à fait envisager d’avoir les deux !
Enfin, notez que vous n’avez aucune obligation d’indiquer votre adresse complète sur votre CV. Vous pouvez vous contenter d’indiquer la ville et le pays, pour que le destinataire sache où vous vous trouvez, et bien évidemment votre adresse e-mail pour qu’il ou elle puisse vous contacter.
Et votre numéro de téléphone ? A vous de voir. Là encore, aucune obligation. Personnellement, je ne mets pas mon numéro de téléphone dans mon CV comme je ne souhaite pas recevoir de proposition de missions par téléphone. Si un client a besoin de me parler, je préfère qu’il entre en contact avec moi par e-mail d’abord, et nous pouvons ensuite éventuellement fixer un rendez-vous téléphonique ou en visio (ce qui est rarement nécéssaire).
6. Sixième étape : créer votre portfolio
Vous pouvez soit fusionner votre CV et votre portfolio, soit créer deux documents distincts. Si vous optez pour la fusion, vous ajouterez simplement une liste de vos travaux de traduction à la suite de votre CV.
N’hésitez pas à donner des précisions sur les projets de traduction que vous mentionnez, comme le nombre de mots traduit, une description du projet, la paire de langues, ou encore, des informations sur le client final (sans donner son nom par souci de confidentialité).
N’hésitez pas à donner des précisions sur les projets de traduction que vous mentionnez, comme le nombre de mots traduit, une description du projet, la paire de langues, ou encore, des informations sur le client final (sans donner son nom par souci de confidentialité).
Et si vous avez des appétences pour la création graphique, vous pourrez vous amuser à créer un portfolio plus élaboré : votre seule limite est votre imagination !
En parlant de création graphique : si vous proposez des services en lien avec la création graphique en plus de la traduction, comme le community management ou la publication assistée par ordinateur, votre portfolio en lui-même peut être une formidable vitrine de ce que vous savez faire.
Et si vous voulez jouer la carte de la simplicité, vous pouvez aussi simplement considérer la section « Sélection » de votre profil LinkedIn comme votre portfolio et ajouter un lien vers votre profil LinkedIn dans votre signature automatique.

7. Septième étape : créer votre profil Proz
Proz.com est un site de référence chez les traducteurs indépendants du monde entier. Vous pouvez y créer votre profil pour apparaître dans l’annuaire des traducteurs du site, en indiquant vos langues de travail, vos services, vos domaines de travail, ou encore, votre biographie. Vous pouvez également y demander des avis à vos clients et vous pouvez soumettre votre candidature pour vous faire certifier « Proz.com Certified Pro ».
C’est également sur Proz.com que vous pourrez vous renseigner sur la réputation d’une agence de traduction grâce au système de « Blue Board » du site, qui permet aux traducteurs de noter les agences avec lesquelles elles ont travaillé. Certaines agences peuvent même se voir interdire de publier des annonces sur le site, ce qui est une fonctionnalité précieuse pour les traducteurs.
Enfin, le site propose également une place de marché : les agences de traduction et clients directs y publient leurs propositions de mission, auxquelles les traducteurs indépendants peuvent postuler soit directement via le site, soit par e-mail.
Proz.com propose également d’autres fonctionnalités plus accessoires, mais utiles ou sympathiques, comme la possibilité d’organiser des rencontres entre traducteurs dans sa ville, des webinaires, des forums de discussion, des sondages, ou encore, des vidéos de formation.

8. Huitième étape : créer votre profil LinkedIn
S’il y a bien un réseau social qui mérite d’y investir un peu de temps en tant que traducteur, c’est bien LinkedIn. Ce réseau social est LE réseau social des traducteurs du monde entier. En créant et en optimisant votre profil LinkedIn, vous avez de fortes chances d’attirer vos futurs clients sur votre profil. C’est également le meilleur moyen possible de vous créer un réseau, non seulement parmi la communauté des traducteurs et agences de traduction, mais aussi dans vos secteurs de spécialisation.
Vous êtes plutôt réfractaire aux réseaux sociaux ou vous vous dites (à raison) que vous passez déjà bien assez de temps sur l’ordinateur et que vous n’avez pas envie d’en rajouter une couche avec les réseaux sociaux ? Rassurez-vous : on ne vous demande pas d’y publier quotidiennement ni d’interagir plusieurs fois par jour à des publications qui ne vous intéressent que très peu. Faites l’effort de consacrer quelques heures à la création et à l’optimisation de votre profil LinkedIn au départ, et ensuite, vous pourrez vous contenter de quelques actions ponctuelles.
9. Neuvième étape : réseauter
Nous venons de mentionner le réseautage : vous l’aurez compris, LinkedIn est l’un des meilleurs moyens de vous créer un réseau en ligne. Pourquoi c’est important de vous créer un réseau ? Parce que décrocher des missions et rencontrer de nouveaux clients passent beaucoup par là.
Réseauter, c’est aussi l’occasion de sortir de votre bulle et d’aller à la rencontre des autres : dans des espaces de coworking, dans des salons professionnels, etc. En bref, réseauter vous permet de vous faire connaître pour décrocher des missions, de faire des rencontres et donc de rompre l’isolement, la bête noire de tout professionnel indépendant.
J’ajoute que si les plus introvertis d’entre nous peuvent avoir du mal à se prêter à cet exercice, il est bon de se forcer à le faire de temps en temps pour muscler son intelligence relationnelle, une forme d’intelligence bien utile voire essentielle pour entreprendre.
10. Dixième étape : créer votre micro-entreprise
Si vous n’avez pas commencé par-là, maintenant que vous avez franchi les neuf étapes précédentes, il est temps de concrétiser votre démarrage dans l’industrie de la traduction en créant votre micro-entreprise. Pour ce faire, vous pouvez soit vous en charger vous-même en déclarant votre activité au Guichet unique, si vous êtes en France, soit vous faire aider par un organisme dédié.
Vous pouvez aussi opter pour le portage salarial, ou pour une autre forme d’entreprise individuelle, comme l’EURL et la SASU. Notez, toutefois, que ces dernières formes sont beaucoup plus lourdes, sur le plan administratif et comptable, que la micro-entreprise, et que vous devrez à priori vous faire aider, par exemple, d’un cabinet d’expertise comptable. Vous auriez donc tout intérêt à plutôt opter pour la micro-entreprise, en particulier si vous n’avez pas l’intention de sous-traiter. En revanche, si vous savez déjà que vous voulez évoluer rapidement en agence de traduction, et donc faire appel à des sous-traitants, il serait plus judicieux de choisir dès le départ un autre statut que celui de la micro-entreprise, qui n’est pas fait pour la sous-traitance.

Conclusion
Vous savez maintenant quelles sont les étapes à franchir pour vous lancer à votre compte en tant que traducteur ou traductrice.
Ces informations vous ont été bien utiles, mais vous sentez que vous avez besoin d’aide pour y arriver ?
Dans ce cas, n’hésitez pas à vous inscrire à ma formation « Bien démarrer dans l’industrie de la traduction », qui aura lieu du 28 avril au 2 mai.
Dans chaque session de deux heures, nous aborderons plus en détail ces étapes : je vais vous montrer comment déterminer vos langues de travail, vos services et votre productivité, fixer vos prix, constituer votre boîte à outils, optimiser vos réseaux, optimiser votre CV, trouver des clients et les garder, répondre à des annonces, traiter des commandes et tenir sur la durée.
On ne va clairement pas chômer ! Alors, on se dit au 28 avril ?
Ces informations vous ont été bien utiles, mais vous sentez que vous avez besoin d’aide pour y arriver ?
Dans ce cas, n’hésitez pas à vous inscrire à ma formation « Bien démarrer dans l’industrie de la traduction », qui aura lieu du 28 avril au 2 mai.
Dans chaque session de deux heures, nous aborderons plus en détail ces étapes : je vais vous montrer comment déterminer vos langues de travail, vos services et votre productivité, fixer vos prix, constituer votre boîte à outils, optimiser vos réseaux, optimiser votre CV, trouver des clients et les garder, répondre à des annonces, traiter des commandes et tenir sur la durée.
On ne va clairement pas chômer ! Alors, on se dit au 28 avril ?
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